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ville de vanves - Page 340

  • UNE LEGION D’HONNEUR POUR LA DAME DE CŒUR DE VANVES

    «C’est le cœur qui vous conduit. Vous donnez de vous-même au travers des associations, de votre lutte contre la maltraitance des enfants, à travers l’Enfant Bleu depuis 1992 de vos fonctions d’élue que vous avez rempli au niveau local, maire ajoint chargé des solidarités, départementale, vice président du conseil Départemental des Hauts de Seine, chargé des transports et des anciens combattants, régional comme conseillère régionale et nationale comme sénatrice» a déclaré Gérard Larcher, Président du Sénat, lors de sa remise des insignes de chevalier de la Légion d’Honneur Mercredi soir dans les salons de Boffrand du Sénat, en présece de très nombreuses personnalités : Des ministres, Gabriel Attal, Adrien Taqué, des anciens, comme Michéle Alliot Marie, Roger Karoutchi, des collégues comme Bruno Retailleau, Jacques Gautier, des élus altoséquanais, Georges Siffredi président du CD 92, Sophie Devedjian, des vanvéens, Bruno Jeudy, Françoise Saimpert, Laurent Lacomére, Patricia Kazan, le pére Auville ex-curé de Vanves.  Le président du Sénat a rappelé tout son travail législatif (impressionnant) comme membre puis présidente de la Commission Sociale, puis Vice Présidente lors de son second mandat auprés de lui, qui lui a permis de présider avec courtoise les séances, très apprécié de ses collègues comme l’a constaté Gérard Larcher . «J’ai apprécié de vous avoir à mes côtés !» saluant la Gaulliste de conviction, et sa ténacité que la République a honorée. «Accéder à de telles fonctions étaient inimaginables pour la petite fille que j’étais. Je me demande si tout cela était bien réel. J’ai maintenant tournée la page. Pour ces 13 années, je veux dire merci, puis remercier ceux qui m’ont sorti et m’ont offert une nouvelle vie !» a déclaré Isabelle Debré.

  • MOINS D’HELICOPTERES AU DESSUSDE VANVES GRACE A LA FERMETURE DE L’HELIPORT D’ISSY

    La fermeture de l'héliport d'Issy-les-Moulineaux à nouveau en discussion au conseil de Paris ces jours-ci puisqu’il va adopter le plan bruit 2021-2026 de la municipalité. Et bien sûr, parmi les mesures proposées, figure ce serpent de mer, exprimé depuis des années  par la mairie de Paris : la fermeture partielle de l'héliport, situé à cheval entre la capitale et la ville des Hauts-de-Seine, entre l'Aquaboulevard et le parc Suzanne Lenglen. Il est installé sur un terrain de sept hectares appartenant à la mairie de Paris et exploité par le groupe Aéroports de Paris (ADP). Mais la concession qui encadre son exploitation touche à sa fin en 2024 et la ville de Paris ne souhaite pas la renouveler.

    «Nous nous sommes engagés pendant la campagne à créer un nouveau parc en remplacement de l'héliport. Nous envisageons ainsi l'extension du parc Suzanne Lenglen, la création d'une cité fertile, démonstrateur et lieu d'expérimentation d'une ville durable et agricole»  explique la mairie de Paris, en ajoutant vouloir «améliorer le cadre de vie et mettre un terme aux différentes sources de pollutions générées par les hélicoptères». Car ses nuisances sonores sont au cœur des préoccupations. Un rapport établi par Bruitparif en 2011 estime que les habitants des quartiers limitrophe de l'héliport, souffraient de nuisances pouvant atteindre 65 décibels, selon les trajectoires de vol, comme le constatent chaque jour de nombreux vanvéens

    Mais curieusement parmi ses voisins, l’héliport a ses supporters : «Il est essentiel qu'une région-capitale comme la nôtre bénéficie d'une infrastructure aéroportuaire comme l'héliport pour des missions de service public comme l'acheminement des secours, mais aussi pour répondre à des besoins régaliens en situation de crise» expliquait Sebastien Bizot, directeur général des services de la ville d'Issy-les-Moulineaux au Parisien, qui constatait que  le trafic aérien a déjà considérablement diminué : «En 1989, il y avait 32.000 mouvements (atterrissage et décollage) par an sur l'héliport. Aujourd'hui nous ne sommes plus qu'à 10.000», En 2018, les vols de service publics représentaient 40 % des mouvements. Dans un premier temps, la mairie de Paris prévoit de ne supprimer que les vols commerciaux

  • VANVES DEVELOPPE LA VIDEO-VERBALISATION EN MULTIPLIANT LES CAMERAS DE VIDEOPROTECTION

    Alors que pour la vidéoprotection, Vanves ne comptait que très peu de caméras de vidéoprotection, moins d’une dizaine, souvent en panne, avec le développement de la vidéo-verbalisation au stationnement, elle s’en équipe de 24 dont les images peuvent être consultées en temps réel au Poste de Police Municipale et au Commissariat de la Police Nationale. Il est vrai que cela peut rapporter gros, sans déplacer les agents de la voie publique su place, puisqu’il leur suffit, à la condition d’être asermentés, de constater sur un écran de contrôle une infraction au code de la route ou pour stationnement interdit, gênant  (sur trottoir, passage piétons, accès dégagement, double file, place de livraisons, transports de fonds, etc.), filmée par une caméra de vidéo-protection implantée sur la voie publique, de réaliser un procès-verbal à l'aide d'un Pve (procès-verbal électronique), transmis automatiquement à l'ANTAI (Agence Nationale de Traitement Automatisé des Infractions) à Rennes qui identifie le propriétaire du véhicule et lui transmet l'avis de contravention. Evidemment, la municipalité précise que «la constatation des infractions se fera avec discernement et uniquement lorsque la constitution de l'infraction ne souffrira d'aucun doute possible». Plusieurs secteurs sont concernés comme Jaurés ( rue Jean Jaurès, Place du 8 mai 1945), Legris (Carrefour Albert Legris, Avenue Victor Hugo, Rue Jean Jaurès, Avenue Pasteur), Kennedy (Place Kennedy, rue Falret, Rue Veille Forge), République (Rue de la République, Place de la République, Rue Kléber),  Bleuzen (rue Jean Bleuzen).

    Comme par hasard, le développlement de la vidéo-verbalisation, comme dans beaucoup de Villes de France comme Nice,  intervient, certes pour lutter contre les infractions notamment, mais aussi pour des raisons financières : Il se trouve qu’à la suire de la réforme du stationnement payant, les infractions (pour non paiement par exemple)  qui étaient considéré comme une amende, ne le sont plus, car le FSP n’en est pas une. Et surtout que le produit de ces amendes pénales alimentait les caisses de la Région, de Ile de France Mobilité et des communes franciliennes. Or pour Vanves, le manque à gagner représente à 429 000 €. On comprend pourquoi des villes comme Vanves dont le maire était jusqu’à présent très réticent sur le développement de la vidéo protection – et un de ses ex-maires adjoints à la Sécurité peut en témoigner – s’est mis à la vidéo-verbalisation pour renflouer les caisses de la ville en ces temps de crise sanitaire et économique